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 Yamiko Yuna, la renarde.

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MessageSujet: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyMar 30 Sep - 23:48



 
Yuna
Yamiko
 


 
« Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie.  »

 
       
       
   
 

         

             
Informations

                ¤ Surnom : Renarde, ou Yami, tout simplement.
               ¤ Origine : Japonaise.
               ¤ Âge : 17 ans.
               ¤ Classe : Terminale.
               ¤ Sexe : Femme.
               ¤ Groupe : Anarchistes.
               ¤ Élève interne ? : Oui.
               ¤ Orientation sexuelle : Bisexuelle.
               ¤ Job : ///


             

       
Image du personnage
 

   
Description

       

         
♪ Physique ♪

             
Yamiko, c'est un petit bout de femme d'un mètre soixante-huit presque soixante-neuf, qui pourrait presque se fondre dans la masse... oui, presque. Après tout, qu'a-t-elle qui pourrait la faire remarquer ? Une taille moyenne, une silhouette assez fine et légèrement musclée -l'avantage d'être sportive- même s'il reste ce petit ventre que toutes les adolescentes ont plus ou moins, et des tenues banales, toujours simples et jamais très extravagantes. Non, elle pourrait réellement passer inaperçue, sans cette tignasse rousse qu'elle ne parvient jamais à apprivoiser. Rousse, et pas qu'un peu, d'ailleurs ! Les reflets du soleil et les divers jeux de lumières rendent ses cheveux plus rouges qu'autre chose à vrai dire. De même que ses yeux, d'ailleurs, qui virent dans toutes les versions possibles du brun, tirant très souvent sur le rouge eux aussi.

Côté poitrine, admettons-le, Yamiko n'est pas de celles qui peuvent se vanter d'avoir de jolis décolletés qu'on aime regarder, car la pauvre reste indéfiniment entre un bonnet A et un B. Elle avoue avec honte qu'il lui est déjà arrivée, autrefois, de rembourrer ses soutiens-gorge lorsqu'elle était plus jeune. Aujourd'hui, elle ne le fait plus, mais ça ne l'empêche pas de complexer !

Elle a, autant le dire, gardé un physique très enfantin, avec un teint pâle et de grands yeux -autrefois livre ouvert, aujourd'hui bien moins expressifs-, une peau douce et des moues enfantines. Il ne faut toutefois pas oublier que l'habit ne fait pas le moine...

Et puisque nous parlions d'habits, concernant ses tenues que nous disions simples tout à l'heure, il faut savoir qu'elle sait s'adapter et peut changer de look du jour au lendemain. Un jour en short et l'autre en jupe, un coup en racaille des citées et l'autre en gothique. Pour qui, pourquoi ? Allez le lui demander si ça vous amuse.
             

       

       

         
♪ Moral ♪

             
Yamiko, c'est une âme torturée qui a décidé de prendre la vie comme elle vient, en essayant de ne plus regarder en arrière même si son passé ne cesse de la rappeler à l'ordre. De ce fait, elle aurait tendance à voir le verre plus à moitié vide qu'à moitié plein, se contrefichant pas mal de sa propre survie et des conséquences de ses actes.

Pour autant, elle n'est pas irréfléchie, loin de là. On pourrait la comparer à un animal sauvage, disons... un renard. La bête est sans cesse poursuivie par des chasseurs, alors elle se fait discrète, méfiante, elle jauge son adversaire et n'attaque que si elle se sait de taille à tenir tête, toutes dents sorties. Sinon, elle bat en retraite, se fait petite. Si on la piège, elle grogne et montre les crocs, quitte à vous sauter à la gorge dans un acte désespéré ; quitte ou double, en clair.

Elle n'est toutefois pas une associable de premier ordre, même si c'est souvent la première opinion que l'on se fait à son sujet. La vérité, c'est qu'elle craint de s'attacher et de souffrir par la suite.

Mais, lorsqu'elle accorde sa confiance à quelqu'un, elle est d'une loyauté infaillible, quitte à s'interposer entre une arme et vous pour prendre la balle ou le coup fatal à votre place, qu'importe tant qu'elle a tenu son engagement à votre égard. Cet instinct l'a bien souvent poussée à se mettre dans des situations compliquées ; fort heureusement, elle s'en est toujours tirée à bon compte.

Quand elle laisse tomber les barrières qui l'empêchent d'être elle-même, on découvre une jeune adolescente souriante et pleine de vie, qui ne demande qu'à s'amuser et découvrir le monde. Elle pourrait passer des heures à chanter et danser -ce n'est d'ailleurs pas rare qu'on la retrouve dans un karaoké ou dans une salle d'arcade en train de s'amuser sur un DDR. D'ailleurs, elle n'hésite pas à sécher quelques cours pour aller se payer un verre au bar et passer ses soirées en boîte de nuit -merci les papiers d'identité trafiqués.

Au fond, Yamiko n'est qu'une fille parmi tant d'autres qui se cherchent, mais elle pourrait presque considérée comme porteuse d'une double personnalité, faute à son côté lunatique un peu trop présent. Et puis, une fille qui mène un double jeu, en tant que jeune demoiselle un peu taciturne mais toutefois pas totalement fermée, puis son rôle de tueuse des rues... Comment savoir ce qu'il peut bien se tramer dans sa petite tête ?
             

       

 

 

   
Histoire

       

        
Une gorgée, puis une deuxième, et une troisième. Un air de J-rock résonne, et une jeune fille se déhanche sur la piste, en collé-serré avec un inconnu. Il tente de l'embrasser, elle esquive, avec un petit rire, l'haleine chargée de la lourde effluve de l'alcool. Elle est loin d'en être à son premier verre, elle ne sait plus trop ce qu'elle fait, et demain elle se réveillera sans plus se souvenir de rien. Elle le sait, mais n'en a pas conscience. Elle s'amuse, elle divague, elle oublie. Son décolleté l'est un peu trop, sa jupe est aussi un peu trop courte, ses mouvements un peu trop provocants. On s'étonne qu'elle n'ai pas déjà été prise contre un mur dans un coin sombre de la boîte ou, au mieux, les toilettes. La seule chose qui la maintient encore un tant soit peu dans la réalité, c'est le visage d'un blond aux yeux bleus qui flotte derrière ses paupières fermées.

Comment en est-elle arrivée là ? C'est une bien longue histoire...


Yamiko, à l'aube de sa vie qui commençait dans le pays du soleil levant, à Hirosaki dans la région d'Aomori, n'avait rien pour être vraiment malheureuse. Sa mère était une femme douce et aimante, sa grande sœur ne lui portait pas énormément d'intérêt mais ne l'ennuyait pas plus que ça, et leur frère aîné était raide dingue de la gamine dont il adorait s'occupait en toute occasion. Elle n'a jamais connu son père, et pourtant, elle en portait le nom de famille, tandis que les deux autres portaient celui de leur mère, Tsubasa. Elle ne voulu jamais savoir pourquoi seule elle avait été reconnue par leur père, et toute la famille le compris très vite : aux yeux de la petite rousse, il n'existait pas. Il s'en était allé bien avant qu'elle ne vienne au monde, et elle ne savait que quelques rares choses le concernant : elle était la seule de la famille à lui ressembler, et il était un homme très occupé par son emploi en tant que banquier dans une enceinte prestigieuse. Seul Kyo, son frère, de 6 ans son aîné, était capable d'en parler, car lui seul l'avait connu assez d'années pour être en mesure de comprendre certaines choses. Sara, sa sœur, n'avait que deux ans lorsqu'il était parti. Très vite, il était devenu un sujet tabou dans la petite maisonnette, qui, de toutes façons, n'eu plus beaucoup d'occasions pour parler de cet homme fantôme.

En effet, sans le salaire de leur père, il était compliqué pour la famille de subsister. Leur mère retrouva un emploi, et, dés qu'il fut en âge, Kyo se chargea d'effectuer des petits boulots afin d'aider comme il le pouvait. Aussi, Yamiko apprit très vite à se contenter de ce qu'elle avait, et comprit très vite les notions d'argent, préférant rapidement l'économie qui peut sauver à la dépense qui peut ruiner. Ils étaient heureux, tous les quatre, vivant dans la simplicité sans chercher plus loin car elle leur convenait parfaitement.

Toutefois, cette petite bulle de bonheur éclata. Sa mère du travailler tard le soir, et Kyo se mit à traîner dans des affaires de plus en plus sombres afin de rapporter de l'argent. Entre deal et règlements de comptes dans les rues, il fini par changer du tout au tout. Un dealer ne peut faire autrement que devenir un consommateur. Il fini par rentrer chaque soir, drogué, ivre, chaque fois un peu plus. Jusqu'au jour où ce fut trop, et que la tempête éclata sur Yamiko. Des coups, des abus. Elle pleurait, hurlait, se débattait, mais Sara n'était jamais là, sa mère non plus. Elle du subir ce traitement pendant deux ans. Deux longues années faites de souffrance et de dégoût.

Elle avait quatorze ans lorsque le calvaire prit fin. Sara découvrit le pot-au-rose, et l'affaire se poursuivit au tribunal. Pour sûr, aucun membre de la famille n'oubliera ces journées passées à être interrogés, tour à tour, ces infinies répétitions de « Je le jure », main droite levée et la gauche posée sur ce fameux cahier empli de lois que personne ne peut prétendre connaître par cœur. Il fallut trois audiences, puis la sentence tomba. Kyo fut jugé coupable et enfermé.

L'Enfer s'achevait, mais Yamiko en ressortait plus atteinte que jamais. Brisée, dégoûtée d'elle-même, elle ne s'enferma pas pour autant à double-tour dans sa chambre. Au contraire, elle se mit à sortir le soir, ne rentrant souvent que le lendemain, sécha les cours, se laissa draguer et bien plus encore par n'importe qui ou presque. Elle se procura une arme, un simple poignard, et son oeuvre commença. Elle traînait dans les rues malfamées, se battait, tuait pour dépouiller. Elle n'eu jamais aucun remords à ses actes, et son corps porte de nombreuses cicatrices, blessures de guerre.

Toutefois, on ne peut tuer sans être remarqué, et très vite, elle fini par être recherchée, sous le patronyme de « La Renarde ». Car, comme dans les plus grands thrillers de tous les temps, elle signait ses méfaits par un nom qui lui correspondait parfaitement.

Pour ne pas risquer de mettre ce qu'il restait de sa famille en danger, à l'approche de ses seize ans, elle demanda à rejoindre une prestigieuse académie à Chiba, totalement à l'opposée de là où elle vivait jusqu'à présent. L'académie Yoru étant accessible à tous, et n'ayant donc rien à payer, sa mère accepta, et, à la rentrée, elle pris son premier vol vers cette nouvelle vie. Elle ne tarda pas à rencontrer diverses personnes hautes en couleurs, tantôt bonnes, tantôt mauvaises. Entre sa colocataire qui lui offrit un muffin dés leur première journée ensemble mais qui s'en alla sans un au revoir, et un type étrange qu'elle avait croisé au détour d'une ruelle et qui avait fini par lui planter sa propre arme dans l'épaule, elle en avait vu des vertes et des pas mûres.

Mais une rencontre la marqua bien plus que les autres. Un jour banal, elle avait roulé en scooter à l'aveugle, et avait trouvé un entrepôt on ne peut plus calme, du moins d'apparence. Car, bien vite, elle se retrouva face à un blond aux yeux de glace qui contrastaient tellement avec le feu qui brûlait dans les siens ; son portable réduit en miettes et le canon d'une arme pointée sur elle. Et il lui sortait tout un speech sur une histoire de mallettes, d'échange, bref, tout ce dont elle se moquait. Elle le provoquait ouvertement, comme si elle ne risquait pas de se prendre une balle qui lui serait fatale. Des hommes arrivèrent, et l'instant d'après, tout n'était plus que combat et sang. Elle en profita pour filer à l'anglaise, mais elle eu le temps de voir le blond en mauvaise posture, et elle se doutait qu'il finirait mal. Quelque chose s'était fendu en elle, et son instinct l'avait poussée à se poignarder elle-même pour ensuite rejoindre l'hôpital pour donner l'alerte, en le faisant passer pour son petit ami.

C'est ainsi qu'ils s'étaient tous deux retrouvés dans la même chambre d'hôpital, et qu'ils avaient commencé à faire connaissance. Elle apprit donc qu'il s'appelait Huro, et qu'il faisait partie d'un gang, ce qui l'intéressa étant donné qu'elle cherchait depuis un moment à en rejoindre un. Le pourquoi du comment Yamiko avait agit de cette façon demeurait un pur mystère, autant pour l'un que pour l'autre. Quoiqu'il en soit, ils reçurent une petite visite de policiers, qui les interrogèrent, et la mascarade du couple se poursuivit, bien que le blond profita un peu trop au goût de la rouquine, qui se braqua. Craignant de se voir à nouveau souillée par un viol, son armure se brisa et elle fondit en larmes. Alors, Huro changea du tout au tout, et se montra plus compréhensif à son égard, mais pas moins dur. Si elle voulait rejoindre un gang, il lui faudrait ne plus se démonter ainsi, sinon s'en serait fini d'elle.

Ils finirent par décamper, pour aller retrouver le butin d'Huro sur les lieux du crime, et de là, une certaine complicité naquît des maladresses de l'un et de l'autre, des piques lancées et des querelles limite puériles. Finalement, celui qu'elle s'amusait à appeler « blondinet » lui avait proposé une sorte de pique-nique tranquille au parc. Si elle avait d'abord été méfiante, elle avait fini par se laisser entraîner. Et ce n'est qu'une fois là-bas que les choses s'étaient enclenchées, comme une suite logique à tous ces événements qui ne l'étaient pas. Une chute, des rires, un baiser volé, des menaces dans le vent, dix secondes et toute la situation s'était retournée. Un je t'aime échangé, et une douce chaleur l'avait envahie. Grâce à celui qu'elle voyait comme un jeune rottweiler qu'on qualifiait trop vite de « dangereux », et à qui on enfile une muselière sans chercher à savoir s'il vous mordra ou non, et encore moins si la cause de son agressivité ne serait pas la faute à ses maîtres. Elle, Yamiko, avait su voir au delà de l'image première, au delà de cette façade qu'elle ne connaissait que trop bien puisqu'elle avait en avait bâti une semblable autour d'elle.

Et alors, tout avait commencé. Un amour simple et compliqué à la fois. Chacun était ce que l'autre recherchait, et il n'y eu jamais vraiment de disputes. Elle dormait souvent chez lui, ce qui était loin de la déranger puisqu'elle avait du mal à cohabiter avec sa nouvelle colocataire, passait du temps avec son petit ami sans pour autant être la copine collante inséparable de son homme. Elle aussi avait parfois besoin de solitude, et c'est cette compréhension mutuelle qui leur permit de poursuivre leur histoire sans encombres, même lorsque Huro devint chef de son gang et y intégra Yamiko. Les premiers temps furent un peu difficiles, car même si, en tant que leader, il les avait mit en garde de ne pas l'approcher, elle était la seule femme du groupe, et donc souvent victime de railleries et de tentatives de bizutages. Fort heureusement, elle avait prit de la graine, et très vite, elle su se faire respecter et écouter lorsqu'elle prenait la parole.

Tout ça dura aux alentours d'un an, jusqu'à ce, qu'un matin, elle apprenne en arrivant au QG que plus personne n'avait de nouvelles d'Huro. Qu'il s'en était allé, sans rien dire, sans rien laisser. Il avait semblé évident que Yamiko prenne plus ou moins la tête du groupe, même si elle ne s'était jamais proclamée cheffe, refusant de prendre la place qui revenait de droit à Huro, et refusant de démordre de l'idée qu'il reviendrait.

Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois. Elle avait fini par comprendre que non, il ne reviendrait pas. Elle avait alors sombré dans l'alcool et la drogue, finissant toujours totalement stone dans une rue quelconque, délaissant le gang et les cours, couchant dehors, passant le reste du temps dans les bars et les boîtes de nuit, dans le seul but d'oublier.

Il devait être parti depuis un peu plus de cinq mois environs, et elle couchait pour une fois dans l'appartement qui avait été plus ou moins celui d'Huro et elle, qu'elle entendit frapper à la porte en pleine nuit. Pleine d'espoir, elle se leva pour aller ouvrir, et ce qu'elle découvrit la frappa de stupeur, et de terreur : devant elle, se tenait Kyo. Elle avait voulu fermer la porte, mais il l'avait bloquée et était entré de force. Paniquée, elle avait songé à fuir, mais sa fierté avait été plus forte, de même que la force de caractère qu'elle avait acquise au sein du Yôkai Gang. S'était alors suivi un long dialogue, méfiant d'un côté, et cynique de l'autre. Et puis, il avait sorti une arme à feu, un pistolet qu'elle reconnu comme étant un simple Beretta 92. Alors c'était comme ça que tout se finissait ? Il allait l'abattre d'une balle et s'en aller ?

Il fit alors une chose qui la surpris : il posa l'arme à terre, et recula, lui laissant le choix de s'en saisir ou non, ce qu'elle fit sans hésiter, braquant le canon entre ses deux yeux. Il ne se démonta pas, conservant son sourire, la mettant au défi d'appuyer sur la détente. Les doigts de sa jeune sœur semblaient hésiter, ses mains tremblaient, et elle se retrouvait, malgré toute la haine et la rancœur qu'elle éprouvait, incapable d'achever celui qui avait fait de sa fin d'enfance un Enfer. Elle laissa donc ses bras retomber, renvoya l'arme vers Kyo, qui ricana d'un air des plus hautains en récupérant son bien. Il s'en alla alors, sans un regard en arrière, lui promettant de revenir.

Et elle ? Elle, ne souhaitant absolument pas le revoir, se mit en tête de quitter le Japon, de partir là où il ne la retrouverait pas. Elle chercha tout le reste de la nuit un établissement scolaire qui saurait l'accueillir pour la fin de ses études, et tomba sous le charme d'une académie en France. La France. Pays du fromage et des vaches, qui viendrait la chercher jusqu'ici ? Sa décision prise, elle passa ses journées entre alcool, drogue et apprentissage du français pour ne pas être totalement prise au dépourvu en arrivant là-bas. Elle qui avait toujours eu du mal avec les langues étrangères fut totalement chamboulée par celle-ci, qui n'avait rien à voir avec le japonais. Mais elle s'accrocha, avec la simple et bonne raison qu'elle préférait mourir que revoir son frère.

Alors, près d'un mois après cet événement, elle réserva un aller simple en avion pour la France. Destination ? Le lycée Lumen. Encore une fois, une nouvelle vie débutait pour elle.

Elle continue de danser, sans suivre le rythme de la musique, ne se concentrant sur rien d'autre que sur l'image de l'homme qui lui apparaît. Et puis, soudain, elle s'arrache à contre-cœur de cette rêverie et rouvre les yeux. Et voilà que, plus loin, elle aperçoit cet être aux cheveux d'or et aux yeux de glace. Son coeur loupe un battement, elle vacille. Il est là.
             

       

 

 

 

 

   
Lycée Lumen


       ¤ Une rapide présentation ? (:  : Je m'appelle Océane, j'ai 16 ans, je suis en première L et ça va faire 7 ans en décembre que je fais du RPG, à mon plus grand bonheur ! J'adore écrire, je rêve d'être publiée un jour ! Puis sinon ben je dessine. Et puis je matte des animes et je lis des mangas ! Genre Pandora Hearts, Deadman Wonderland, D.GM, Vampire Knight, FT, Madoka Magica, Loveless, Steins;Gate, SAO, NGNL et beaaaaucoup d'autres ! J'aime aussi les romans, mais pas trop les BD. Je peux vraiment passer des heures à lire ! Puis... voilà, si vous voulez apprendre à me connaître y'a pas de soucis, venez discuter 8D
       ¤ Code du règlement : Validé par ♠
       ¤ Remarque(s) sur le forum ? Niop, pas particulièrement :3
       ¤ Premier compte ? Oui[X] Non[]
       ¤ Comment avez-vous trouvé le forum ? Vu qu'on cherchait un forum avec Huro pour rejouer d'anciens persos, on a cherché chacun de notre côté et il a trouvé ce forum, on a aimé du coup... voilàààà. :3  

 



Dernière édition par Yamiko Yuna le Ven 3 Oct - 21:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyMer 1 Oct - 10:43

-8D oh! Une fana de lecture comme moi :3-
~~Bienvenue parmi nous! Au plaisir de te revoir sur le forum :D
Bon courage pour la suite de ta fiche :3
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& doué en la matière
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Kurodo Shun

Kurodo Shun

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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyMer 1 Oct - 13:35

Bienvenue Yuna =)
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Clown

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Itô Emi

Itô Emi

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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyJeu 2 Oct - 19:14

Coucouuuu !!! Bienvenuuue !! mignon

Moi aussi j'adore écrire et j'adore les mêmes choses que toi ! C'est cool de rencontrer des gens avec les mêmes centres d'intérêt donc enchantée !  
Amuse-toi bien iciii !!
ohoh
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyJeu 2 Oct - 22:41

Bienvenue belle demoiselle ! o/
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyVen 3 Oct - 18:21

Hana, on est d'accord, la lecture, c'est la vie ! 8D Merci !
Merci Kuro !
Merci Itô, au plaisir de faire plus ample connaissance ! :3
Sven, merci, bel homme :P
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyVen 3 Oct - 18:49

"Yamiko Yuna, la renarde"
Un des effets de la radio activité au Japon ?
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyVen 3 Oct - 18:52

Tu m'as tuée xDD
Non, t'auras la réponse dans l'histoire :P
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  EmptyVen 3 Oct - 21:49

Double post juste pour dire que j'ai fini. :3
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MessageSujet: Re: Yamiko Yuna, la renarde.    Yamiko Yuna, la renarde.  Empty

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