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| [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] | |
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Invité
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| Sujet: [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] Sam 1 Mar - 13:41 | |
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Le soleil brille dehors mais on dirait qu’il fait un peu frais, après tout nous sommes en hivers. D’ailleurs je peux voir la buée sur la fenêtre de ma chambre. Cette buée est légère, elle montre bien que la chaleur de la pièce est relativement différente de celle qui règne dehors. Mais peu m’importe, ce soleil et cette fraîcheur dès le réveil me donne envie d’un bon chocolat chaud avec des guimauves dedans. Oh my Gosh, ce que ça donne envie.
Bon c’est vrai que c’est un peu bizarre de vouloir chercher un chocolat chaud alors qu’on est vendredi matin, mais par chance mes deux premières heures ne sont pas occupées. « Pourquoi ? » vous me demanderez. « Normalement tu as cours, il est impossible que tu ne doives pas aller à l’école, c’est inadmissible ! » Bon tout d’abord, je suis à l’internat et donc on peut dire que je suis en quelque sorte déjà à l’école. Et pour continuer mon explication, c’est simple … Avez-vous déjà eu un prof absent ? Oui ! Parfait ça va résumer mon nombre de paroles pour vous donner la raison pour laquelle je ne dois pas aller en cours si tôt.
Donc je me lève de mon lit et me dirige vers la fenêtre, j’ai sur mon visage un sourire rayonnant. Je sens déjà que cette journée va être riche en rebondissement. Je ne sais pas vraiment ce qui me donne cette impression. Peut-être que j’ai un sixième sens. Qui sait ?
Encore en pyjama, qu’est-ce que j’aime ce type de vêtement je m’y sens à l’aise dedans. Mais bon … si je veux chercher mon délicieux chocolat chaud, j’ai plutôt intérêt à m’habiller. Je me vois mal en rue avec un pyjama. On risquerait de me regarder bizarrement.
J’enfile une jupe brune avec des bas opaques pour ne pas risquer d’avoir froid. Je mets au-dessus un pull bleu clair. Je n’oublie pas de mettre ma veste et mon écharpe avant de sortir. Ce serait idiot d’être malade, non ? En plus quand on est absent pour cause de maladie, il faut se remettre en ordre. Et Dieu sait que je déteste devoir emprunter les cours des autres élèves. Pourquoi ? Eh bien … pour la simple et bonne raison que je sais pertinemment que je vais oublier de leur rendre leurs classeurs ou feuilles. J’ai une mémoire courte de côté-là, ce n’est pas de ma faute ! Je préfère de ce fait ne pas être malade, normal. Mais enfin bref !
Je prends mon sac et sors de l’internat, je précise bien aux personnes chargées des dortoirs que je serais à temps pour les leçons. C’est vrai, je ne peux pas sortir en ville sans prévenir au moins un adulte. Je serais complètement inconsciente si je ne le faisais pas. Je traverse les couloirs et le hall, appuie ensuite ma main sur la poignée et pousse la porte d’entrée qui pour moi devient la porte de sortie qui mène à l’extérieur du pensionnat.
Juste en étant à peine sortie du bâtiment, le soleil vient caresser mon petit visage de couleur claire. Je ferme doucement les yeux en sentant la chaleur qui contrebalance avec le frais de l’air. La sensation est agréable. On se croirait presque au début du printemps avec les oiseaux qui chantent dès que le soleil est là. On peut sentir la joie de vivre et de l’apaisement rien qu’en les écoutant. Je vous promets cette sensation est délicate et douce. Je suis persuadée que vous la connaissez.
J’ouvre après quelques minutes les yeux et commence à me mouvoir. Je connais un petit café assez sympa, pas loin et qui nous permet de prendre du café à emporter. Vous allez peut-être me dire que ça existe partout de nos jours. C’est vrai … Mais ce café-là, je l’affectionne. Le personnel est accueillant et chaleureux, on s’y sent directement bien.
Je marche le long des maisons et arrive enfin au fameux café, je vois une personne en sortir, celle-ci me tient la porte afin que je passe avant qu’elle sorte. Je vous ai bien dit que les gens ici sont sympathiques. Je passe donc la porte en faisant un signe de tête qui montre ma gratitude à la personne qui me laisse entrer. Pour moi un simple signe n’est pas suffisant, je veux être polie comme les us et coutumes le veulent. Un sourire au coin des lèvres je regarde cette âme charitable et lui dit paisiblement.
« Je vous remercie, passez une bonne journée. »
Sa réponse ne s’est pas fait attendre et elle m’a renvoyé ma formule de politesse. Rien qu’à la porte d’entrée, on peut sentir l’odeur des grains de café. L’odeur est agréable, la chaleur de la pièce réchauffe également mon petit corps rafraichis lors de la minuscule promenade jusqu’ici. Assez satisfaite d’être ici je me dirige vers la file et attends mon tour pour commander.
La file avance à sa vitesse, j’attends. Le garçon en face de moi n’a pas l’air décidé, on dirait qu’il ne sait pas ce qu’il va choisir. Pourtant il avait le temps car la file était longue avant lui. Il faut avouer qu’il n’y avait qu’une femme qui servait et s’occupait des commandes.
Il regarde les pancartes derrière le comptoir, vous savez les mêmes qu’on peut voir au McDo’. Il décide enfin ce qu’il veut commander et juste au moment où je m’approche pour à mon tour dire ce que je veux. Je ne sais pas comment il a fait mais le maladroit se cogne à moi et son café ou chocolat ou je ne sais quoi tombe sur ma veste. La poisse ! Je regarde mes vêtements dans un premier temps puis regarde la personne qui a accidentellement renversé sa boisson sur moi, je n’ai pas vraiment d’expression sur le visage, je pense que je ne me rends pas encore compte de ce qui vient d’arriver. Il faut le temps que l’information remonte mon système nerveux, passe de nœud de renvier en nœud de renvier puis qu’elle atteint ma moelle épinière afin d’atteindre finalement mon cerveau.
« Mes … mes vêtements … »
Encore sous le choc, je ne bouge pas. Tout s’est passé si rapidement.
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| | | Agité
Adrien A.White Âge : 16 Orientation sexuelle : orientation se... quoi ?? Job : étudiant Messages : 77
| Sujet: Re: [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] Dim 2 Mar - 1:10 | |
| "Je déteste l'hiver" Ce furent mes premiers mot quand je me levais, aux aurores, comme d'habitude. La buée à la fenêtre de présageait rien de bon pour moi. Parce que qui dit hiver, dit froid ; et qui dit froid, dit que je vais me casser la gueule de fois plus que d'habitude. Voilà pourquoi je détestais l'hiver. Le seul endroit où je ne me cassais pas la gueule en hiver c'était Londre, malheureusement je ne me trouvais pas à Londre. Ho que non. Je me levais de mon lit, sentant mon pyjama pesé sur mes frêles épaule et se prendre progressivement dans mes pieds à mesure que je me dirigeais vers mon armoire. Et pour la première (et sûrement pas la dernière) fois de la journée, je me vautrais par terre comme un cachalot.
Je me relevait calmement et enlevait mes vêtements avant de piocher au hasard dans mes vêtements. Commençant tout d'abord par mettre mon petit gant sur ma main gauche. Aujourd'hui j'avais envie de sortir. Comme je n'avais pas cour de là matinée (pour une fois) je voulais en profiter pour visiter un peu les environs. Je mis donc un pantalon noir et simple, avec une chemise blanche en guise de haut. Avant de m'attarder à choisir une veste que je prit finalement au hasard.
C'était une longue verste vert foncé qui m'arrivait aux cuisses et qui était moumouté sur les extrémités. Je revêtis la veste avant de prendre mon cache oeil sur ma table de nuit et de l'ajuster à mon oeil gauche. Retirant les mèches qui pouvaient enlever mon cache-oeil. Je piochais ensuite dans mes chaussettes et me les enfilaient aux pieds, avant d'attraper mes Vans et de glisser mes petits pieds dedans. Fin près pour sortir, je tâtais les poches de ma veste, sans y trouver mon port monnaie qui était lui aussi sur ma table de nuit.
Je pris donc mon port-feuille et sortis de ma petite chambre. Prévenant que je sortais, je mis les pieds dehors. Cette atmosphère glaciale était vraiment agréable. Et je pris les temps de fermer les yeux quelques instants. Essayant de m'imaginer à Londre à cet instant précis. Ah... quel doux souvenirs.
Je me mit alors en route, regardant de tous les coter un endroit où je pouvais m'acheter une bonne tasse de thé anglais. Quand j'aperçus la pancarte d'un petit café. Mes yeux s'attardèrent dessus, quand je vis le mot pan-cakes et crêpes, mon coeur ce réjoui et ce fut le summum lorsque mes yeux tombèrent sur le mot : "Thé anglais"
Alors, tout content, je rentrais dans le petit café et me mettait dans la file d'attente. Réfléchissant pendant ce temps-là si je devais prendre des pan-cakes ou des crêpes et un thé anglais... ou juste du thé vert classique. Je fis bien vite mon choix lorsque je me retrouvais face à la vendeuse qui me sourie de toutes ses dents. --Je... je voudrais deux pan-cakes et un thé anglais s'il vous plaie. La vendeuse m'annonçât le prix et je payais expressément, avant d'attendre patiemment ma commande. Me demandant déjà pourquoi j'avais commandé ça avec la poisse phénoménale que j'avais. Elle me servit quelques minutes plus tard et m'adressa un petit sourire en même temps qu'un "Au revoir" quelques peu aguicheur, me fessant souffler de plus belle. Quand je sentis mon épaule et mon pied percuter quelqu'un, renversant tout mon thé brûlant sur elle et mes deux pan-cakes sur moi-même.
Pendant quelques secondes, j'eue l'impression que le temps s'arrêtait. Je vis ses yeux s'ouvrirent en grands, en même temps que les miens qui étaient horrifiés de ma capacité à blesser les gens.
la pauvre ne bougeait plus, elle devait être sous le choc, sans comprendre ce qui était arrivé, avant de lâcher : --Mes ... mes vêtements ... Je la saisissait alors par le bras et allait directement dans les toilettes des femmes (parce que sinon ça fait violeur), enlevait mon gant, le trempait d'eau froide avant de soulever sont tee-shirt sous son regard effrayer. Je crois qu'elle était en train de penser que j'allais la violer.
Je posais alors délicatement mon gant mouillé sur l'endroit où avait atterris le thé, attendait plusieurs secondes, puis le retirait et re-humidifiait le gant et recommençant l'opération. Je fis cela plusieurs fois avant de regarder qu'il n'y ait pas de trace. Elle n'avait rien dit ; préférant surement me laisser faire.
Je me relevais alors, enlevait mon long manteau patiemment (s'ailler, je doit être identifier comme violeur n°1 dans sa tête maintenant) et le posait sur l'évier à coter de moi avant de me retourner, face à la porte (enfin une action qui ne me fait pas passer pour un pervert !!!). --Eu... je... tu... tu devrais enlever tes vêtements mouiller et mettre mon manteau. Ce serait bête que tu tombes malade à cause de moi. |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] Dim 2 Mar - 14:34 | |
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Encore à terre, je regarde le jeune garçon an face de moi. Il me prend par le bras et me tire avec lui jusqu’aux toilettes des dames. Un garçon dans les toilettes des filles, je pensais qu'on ne pouvait voir ça que dans les films et en fait non. Il vient de me prouver que même dans la réalité cela existe vraiment. Est-il gêné ou pas d'être dans un endroit où il n'est pas censé être ? Telle est la question, comme dirait Shakespeare.
Une fois en face du lavabo, il retire ses gants et puis s'attaque délicatement à son propre t-shirt. Je le regarde à la limite de l'effrayamment. Que veut-il me faire ? Pourquoi se déshabille-t-il ? Il fallait aussi noter que je ne suis pas la seule qui ait reçu un condiment sur elle. Lui aussi en a fait les frais, en effet ses cupcakes sont tombés sur lui et on peut admirer la couleur du glaçage sur ses habilles. Je ne suis de ce fait pas la seule lésée, ce qui me soulage, aussi méchant que cela puisse paraître à vos yeux. Comme on le dit souvent : Plus on est de fou, plus on rit.
Il prend les gants et l'humidifie. Je le vois approcher sa main avec l'objet qu'il vient de mouiller et il commence à essuyer mes vêtements, enfin, l'endroit où la boisson chaude s'est déversée plus tôt. Je préfère ne rien dire et le laisser faire. Il a l'air de s'y connaître relativement bien comme s'il était habitué à ce genre de circonstances. J'ai de la peine pour lui, il faut avouer qu'il n'a pas l'air doué. Si ce genre de mésaventure lui arrive quotidiennement alors il est vraiment à plaindre.
Il retire sa veste là non ? Qu'est-ce qu'il me veut ? Ma virginité va en prendre un coup ? Un si jeune violeur ? Notre jeunesse à l'air complètement perdue, entre vol, mensonge et viole. Je me recule de moins d'un centimètre. Je dois avouer que ce déplacement minuscule vers l’arrière ne me sert à rien.
Il se tourne et me laisse donc pleine vue sur son dos. Je me sens désormais un peu rassurée. Il n'a pas l'air d'en vouloir à ma pureté, au fond il veut simplement réparer son erreur. Comment ai-je pu penser qu'il me violerait ? C'est vrai quoi ! S'il avait voulu le faire je suppose qu'il se serait pris autrement. Oublions cette pensée complètement idiote. Et revenons à nos moutons.
En fait il est assez attentionné, je peux entendre dans le son de sa voix et dans son intonation qu'il est gêné et qu'il se sent mal à l'aise. Il me propose de prendre son manteau afin de ne pas être malade. C'est une gentille attention mais a-t-il pensé à lui ? Il a un air assez inoffensif au fond, il me rappelle mon petit frère. Je lui téléphonerais ce soir pour lui raconter ce petit accident de rien du tout. Parce oui il faut relativiser, ce n'est pas un incident grave, au contraire cela peut être risible sur les bords. J'ai une sacrée envie de rire mais je me retiens. Le sourire réapparaît à nouveau sur mon visage qui a retrouvé son côté paisible. Je me regarde dans le miroir et me dis qu'au final, c'est une manière comme une autre de faire des rencontres.
Et pendant ce temps personne ne semble avoir une envie pressante, et c'est tant mieux car vous voyez déjà les têtes que les femmes feront en entrant ici ? Elles se méprendront à coup sûr. Vous savez ce sont des femmes et certaines d'entre elles ne cherchent pas la vérité, elles préfèrent laisser parler leur imagination débordante sans pour autant demander une explication. Ces dames ne veulent pas être au courant de la réalité, non, elles veulent du rêve et surtout ... Des feuilletons, des films et des séries télévisées ... Eh oh ! La vraie vie c'est ici ! Par ailleurs arrêtez de vous faire des films.
Je suis les instructions du jeune homme dos à moi. Je retire ma veste et ensuite me penche vers le miroir pour attendre le lavabo. Je regarde une dernière fois mon reflet, le sourire aux lèvres puis je me stoppe, hésitante.
« C'est gentil mais si tu n'as pas ta veste tu risques de tomber malade. »
Je prends nos deux manteaux et me dirige vers lui. Nous ne sommes pas loin de la porte je lui tapote doucement l'épaule avec ma main libre.
« Tu peux te retourner, seule ma veste en a pris un coup. »
Il tourne la tête et au même moment-là porte s'ouvre. Le faisant ainsi tomber. Ce n'est décidément pas son jour, le pauvre. Le moment est bref et la femme qui entre semble à son tour gênée. Elle doit bien se demander ce que nous faisons là, un garçon et une fille dans les toilettes. Je me penche et positionne ma tête au-dessus de la sienne puis je me mets à rire. J'essaye d'étouffer le bruit pour ne pas l'offenser. La dame qui a voulu rentrer est entre-temps partie, elle a désertée le champ de bataille, me laissant seule avec le pauvre maladroit. Il a un côté assez attachant et adorable ! Je vous assure il ressemble à mon frère.
Je le regarde dans les yeux en continuant de rire tout en étant encore au-dessus de son visage dont un œil était caché par un mèche de cheveux.
« Ça va ? Tu n'as pas eu trop mal ? »
Sur le moment je ne me suis pas bougée et mon rire résonne de plus belle dans les toilettes. J'espère qu'il ne va pas le prendre mal. Pour moi c'est simplement une manière de rire de nos malheurs et de dédramatiser la situation.
Il n'empêche qu'il a eu deux rencontres aujourd'hui : moi et ensuite la porte. S'il existe une maladie qui a pour syndrome principale la malchance à la limite de la chance. Eh bien ... Il serait le premier adolescent reconnu par les chercheurs. Pourquoi ai-je dit à la limite de la chance ? Tout simplement car être maladroit est créateur de lien sociaux depuis 1 000 ACN (Ante Christum Natum).
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| | | Agité
Adrien A.White Âge : 16 Orientation sexuelle : orientation se... quoi ?? Job : étudiant Messages : 77
| Sujet: Re: [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] Mer 12 Mar - 8:23 | |
| -- C'est gentil mais si tu n'as pas ta veste tu risques de tomber malade.Je l'avais entendue, mais sans trop la croire, vue le ton amusée qu'elle prenait j'avais peur qu'elle ne me joue un mauvais tour. J'entendis alors des bruis de pas léger s'approcher de moi et je sentis une petite main me tapoter légèrement l'épaule avant de dire :--Tu peux te retourner, seule ma veste en a pris un coup. Je me retournai alors légèrement, posant juste mon regard sur elle pour voir si elle ne se moquait pas de moi, avant de remarquer que non.
Quand j'entendis la porte s'ouvrir brusquement, m'entraînant dans une longue chute qui finit par se terminer avec mes petites fesses sur le sol. Mon regard tout étonner dans celui de la femme qui a tenté d'entrée ; elle me regarda de ses grands yeux ronds, avant de déguerpir le plus vite possible, me laissant seul sur le sol avec la fille qui est dèrière moi, sans doute avec la même tête que moi. Je me retourne alors un peu, l'apercevant, pencher vers moi, quand elle se met soudain à exploser de rire, je ne sais pas pourquoi, me laissant perplexe.
Je la regarde rire, elle me regarde aussi un peu, je crois même qu'elle en pleur tellement elle rit. Elle tenta alors de s'arrêter et me re-tapote l'épaule. --Ça va ? Tu n'as pas eu trop mal ? Je me relève alors, j'aie un peu mal au bassin, mais rien de grave vu la douleur.
Je la regarde alors, elle semble perdue dans ses penser, cela me fait sourire et je reprends alors mon manteau, que j'enfile avant de me préparer psychologiquement à m'excuser. Je prie une grande respiration et m'inclinait à 90°. --Je suis vraiment désolé de vous avoir renversé mon thé dessus, je jure que cela ne se reproduira plus jamais. Si vous voulez vous aurez le droit de me demander une faveur en échange de mon acte impardonnable. C'est étrange ; même si je fessais souvent cela, je n'arrivais pas à m'habituer à m'excuser, je trouvais toujours cela ridicule de ma part d'être aussi maladroit. Et même si certaines personnes riaient de moi en me disant que sa ne servait à rien, je me sentais plus tranquille à l'idée de m'excuser. Après bien sûr il m'était déjà arrivé de me faire presque abuser sexuellement par des fous furieux parce que je leurs devaient quelque chose à cause de ma maladresse. Mais ce cas de figure était tout de même plutôt rare. |
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| Sujet: Re: [Abandonné][Café]Un sourire + Un rencontre = Une veste tâchée ~ [PV Adrien A.White] | |
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