Henri Dubois

DUBOIS
Henri

       

Henri est un jeune homme très frêle et maigre. Il possède un métabolisme qui brûle tout calorie qu'il mange. Certain voit cela comme un don, mais pour lui c'est une vraie malédiction. Il n'aime pas trop ressembler à un cure-dent ambulant. C'est l'unique chose qu'il n'aime pas de son corps. Il est donc assez retissant à ce monter torse nul et porte souvent des manches longues quand il sort. Il mesure dans les environs de 1 mètre 63. Sa peau est très pale, mais il est capable d'obtenir un peu de bronzage l'été.

Son visage est étroit et son menton pointu. Ses yeux d'un brun très sombre ne lui permettent qu'une base vision. Il porte donc des lunettes pour ne pas voir flou, mais plus souvent des verres de contact. Ses cheveux, eux aussi brun foncé, sont légèrement ondulés au naturel, mais il les coiffe pour qu'ils soient lisses. Ils sont cour à la nuque et plus long à l'avant où quelques mèches lui tombent toujours dans le visage. Ses lèvres fines laissent rarement voir ses dents même quand il sourit. Il possède une voix légèrement grave qui en surprend quelques un. Son accent est un mélange de québécois et de français centrale.

Je vais essayer de vous expliquer comment fonctionne le cerveau d'Henri. Il est intelligent, logique, mais surtout il a un don pour apprendre vite. Il n'est pas très artistique par contre. Il fait parfois un peu d'écriture poétique, mais sans vraiment s'y investir corps et âme. Il est aussi bon orateur. Le seul problème c'est qu'il parle peu, où seulement quand il en a besoin. Il n'est pas le genre de personne à parler pour rien dire, ce qui fait de lui une personne assez directe parfois. Il ne faut pas se méprendre, car il donne l'impression d'être timide, mais loin de là.

Quand il interagi avec les autres, il reste toujours très distant et se cache sous une carapace. Quand quelqu'un réussi à renter dans son cercle d'ami, il va tout faire rendre cette personne heureuse. Il essaye de le cacher, mais il se préoccupe beaucoup du bien-être de ses proches. Si quelqu'un l'attaque verbalement, il va se défiler avec une bonne couche de sarcasme et il ne va pas se retenir pour être méchant lui aussi. Il a beau être petit, il peut déplacer de l'aire si on le cherche. Malgré tout, il essaye de rester le plus pacifique possible. Il sait bien qu'il ne gagnerait pas un affrontement.

Henri possède une dépendance à la nicotine légère. Il doit fumer environ 3 clopes par jour au maximum, mais s'il passe sa pause « d'aire frai » qu'il l'appelle ironiquement, il devient rapidement de mauvais poile. Il possède aussi quelques tics, comme de passer sa main dans ses cheveux ou de les replacer. Ou encore de se ronger les ongles.

Tout commence avec la rencontre de ses parents. Sa mère, une française du nom de Katherine, à rencontre l'homme de sa vie durant une conférence à Montréal. Il se nomme Noah. Les deux tombaient vite amoureux et après quelques mois de relation à distance, Katherine obtenue un visa pour le Canada et emménagea avec son amant. Quelques années plus tard ils se marièrent. Ils n'avaient pas vraiment l'intention d'avoir d'enfant avant plusieurs années, mais Katherine tomba enceinte seulement quelques mois après leur mariage.

Ils décidèrent de garder l'enfant quand même. C'est ainsi que Henri vient au monde 9 mois plus tard. Sa mère prit quelque semaine de maternité, mais elle retourna au travail assez vite, sa carrière est très importante pour elle. C'est donc son père qui reste le plus souvent avec lui. Il eut une enfance normale. Il commença à porter des lunettes à l'âge de 4 ans.

Entre ses parents tous allait bien jusqu'au jour où son père décida radicalement de changer d'emplois, Henri venait d'avoir 9 ans. Noah changeait souvent d'emplois disant qu'il n'aimait jamais vraiment ce qu'il faisait, mais cette fois s'y se fut un trop gros changement pour que Katherine accepte sans rien dire. Il venait de prendre un poste en tant que danseur nul. Pendant un mois se fut que cri et dispute à la maison et Henri se trouvait aux milieux de tout ça sans rien pouvoir faire.

« - Comment veux-tu élever un enfant normalement en faisant s'genre de travail ?! Non mais t'es devenu fou merde!

-J'suis pas prostitué non plus! Pis Henri que je travaille dans un bureau où dans un bar ça y change quoi ? C'est pas lui qui va venir me voir!

- C'est pas la question! Puis t'as pensé ce que les gens vont dire ?! Putain moi j'ai une réputation à tenir pour ma carrière.

-Oh! On l'sait bien, tout ce qui compte pour madame parfaite c'est sa criss job pis ses tabarnaque d'amis snobs. Peut-être que c'est pas la job la plus normal pour élever le petit, mais au moins moi je passe du temps avec.

-Noah! Tu dépasses vraiment les bornes! Je l'élève autant que toi. J'ai fait des énormes sacrifices dans ma carrière pour lui!

- Encore ta carrière! Merde t'as que se mots là à la bouche ?

- Au moins j'en ai une de carrière moi! »

Ces échanges pouvaient durer des heures. Henri essaye de ne pas y prêter attention, mais il ne pouvait pas, la curiosité et la peur prenaient le dessus. Il détestait chaque seconde que ses parents se disputaient, surtout quand ils parlaient de lui. Il ne voulait pas être la cause de leur guerre. Il ne disait jamais rien. Il restait dans sa chambre, faisant assemblant de jouer à sa Ds où de faire ses devoirs, mais en réalité il épiait chaques mots de ses parents. En quelques semaines la situation s'aggrava terriblement. Ses parents ne pouvaient même plus être dans la même pièce, sinon de la vaisselle commençait à voler à travers la pièce. Leure dernière dispute restera toujours dans la mémoire d'Henri, surtout la dernière réplique de son père.

« -FUCK IT! Tu veux avoir t'as criss de vie parfaite? Fine, mais ça seras sans moi ! Tu vas être contente tu vas pouvoir élever Henri comme tu'l'veux.... Dire que moi j'en voulais pas de kid. Je viens de perdre 10 ans de ma vie à essayer d'élever un petit criss à ta place juste pour me faire dire que j'suis pas capable de faire la job comme du monde? Va te faire foutre! »

Suivi de quoi il donna un bon coup de pied dans le mobilier le plus près qui se trouvait à être une table basse qu'il brisa et il partit laissant sa femme plus enragé que jamais et son fils traumatisé. Quelques semaines et papiers de divorce plus tard, Henri et sa mère emménageait dans leur nouvel appartement en France. Katherine avait obtenu la garde unique et avait demandé de se faire transférer dans son pays natal à sa compagnie.

Henri resta très troublé après cet épisode. Il se sentait coupable des disputes de ses parents, mais pire il se sentait de trop dans ce monde. Son père avait dit qu'il avait gâché sa vie à cause de lui et il ne pouvait que penser que c'était de sa faute. Il se renferma sur lui-même et parlait peu aux autres. Il préférait les livres où aucun personnage fictif ne pouvait lui faire de mal. Quelques mois de visites chez un thérapeute l'aide, mais il reste marqué. Sa mère et lui ne parlait presque jamais de son père et il n'avait que très peu de nouvelle. À chaque jour de son anniversaire il recevait une carte avec de l'argent pour cadeau, mais rien de plus.

Il réussit à reprendre une vie normale, il va à l'école et se fait quelques amis. Il se concentre plus sur ses devoirs et ses lectures que sur sa vie sociale. Sa mère le pousse à aller dehors avec les autres, mais vu qu'elle n'est pas souvent à la maison, il reste plutôt seul à lire et relire ses livres. Il est bientôt connu à l'école comme l'intello de service. Il aide les autres avec plaisir et personne ne l'embête en échange. Rapidement tous les autres jeunes se mettent grandir plus rapidement que lui. À l'âge de 13 ans il devient le plus petit et le plus maigre. Henri essaye de compense ce sentiment d'infériorité en prenant une attitude plus rebelle. Il réussit à se faire respecter des autres sans devoir faire trop de bêtise.

Un des rares jours où il sortait avec ses camarades après l'école, on lui proposa une cigarette. Henri étant un garçon intelligent savait à quel point ça pourrait être nocif pour lui et que le faire seulement pour plaire aux autres était stupide, mais il avait une petite voie intérieur qui lui criait d'essayer. Qu'es qu'une pof pouvait bien lui faire de mal ? De plus celui qui lui proposait c'était Benjamin, un beau blond de sa classe. Dure de dire non. Une pof, puis une autre et puis une cigarette au complet et trois mois plus tard il s'achetait un paquet par semaine. Il réussit à cacher cette habitude malsaine à sa mère ce qui n'est pas difficile vu qu'elle est très abordée par son travail et ses amants.

Il commença sa seconde dans le lycée du coin. Il se retrouva donc dans la même école que ses amis et la même que Benjamin qui était devenu très proche. Durant une des rares soirées qu'Henri participa, il se retrouva seul à seul avec benjamin et les deux s'avouèrent vouloir essayer de s'embrasser. Ce fut un baisé maladroit, mais quand même plaisant. Pour Henri, cela confirma qu'il était aux hommes, mais le beau blond n'avait visiblement pas eu le même plaisir. Au moins maintenant ils étaient fixés. Benjamin resta son ami, mais maintenant il courrait après toutes les jupes du lycée.

Quelques mois plus tard, sa mère obtenait un nouveau post. Il fallait donc déménager et changer de lycée. C'est ainsi qu'il arriva à Lumen.

Fini ^^'

Bah je faisais mieux dans le temps, mais ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas Rp >.<''

Merci et enchanté Sera' !

Oyé Oyé Messere ! Benvenuti ! 8D

Kurodo
Wow, quel drôle d'hazard ! Surtout que j'ai presque nommé mon personnage Geoffrey Malcom ._.J'ai changé le rose arrache yeux

Jens
Merci du compliment x) Parcontre j'ai aucune fichu idée de qui est ce Daniel ._.

Charles
Grazie signore \o/

Kenshin
Thank you~

Chiyoko
Merci. Peur? Jamais x)

Karin
Merci :3