En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée]
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Sujet: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Mer 15 Oct - 23:04
himeka hijiyama ;
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SURNOM Ϟ Hime', Princesse.
ORIGINE Ϟ Japonaise.
ÂGE Ϟ 16 ans.
CLASSE Ϟ 2nde.
SEXE Ϟ Femme.
GROUPE Ϟ Populaires.
ÉLÈVE INTERNE Ϟ Oui.
ORIENTATION SEXUELLE Ϟ Bisexuelle.
nothing has importance, as long as you speak about me ;
PHYSIQUE Ϟ
Himeka, c'est cette gamine atypique qu'on remarque forcément. Pourquoi ? Après tout, ce n'est qu'une adolescente de taille moyenne, mince et habillée -presque- normalement, non ? Mais il y a un détail, et pas des moindres, qui détonne sur ce portrait des plus banals : ses cheveux, teints en un bleu marine. Longs et presque toujours détachés, ils encadrent son visage au teint pâle, qui n'est plus tout à fait celui d'un enfant ni encore celui d'une adulte, mais d'une jeune fille dans la fleur de l'âge. Elle paraît pourtant toute mignonne, vue de loin, hein... Mais attention, une bleue peut en cacher une autre !
Elle n'a pas énormément de formes, mais elle s'en moque pas mal : elle a d'autres atouts pour séduire. De toute façon, seins ou pas, une jupe un peu courte allume tous les mecs à trois kilomètres à la ronde. -Ben oui, peu de poitrine ne signifie pas toujours fesses plates, mesdemoiselles, messieurs.
Côté fringues, elle change souvent de look, parce qu'elle n'aime pas les effets de mode. La tendance est aux motifs léopards ? Elle viendra en tigré. La couleur de la saison c'est le bleu ? Elle viendra en orange pétant. Un jour vous la verrez en sweat et jean, le lendemain elle enfilera la tenue la plus dark-emo-gothique-rock qu'elle possède. Niveau maquillage, c'est la même, quoiqu'elle n'en mette jamais beaucoup, juste histoire de cacher les petites imperfections qu'elle possède -n'oublions pas qu'il s'agit tout de même d'une adolescente en pleine puberté- et sublimer ses yeux d'azur.
La miss fait partie de ces filles qui agacent si souvent les autres quand elles se vantent de pouvoir manger de la pâte à tartiner au chocolat à la petite cuillère ou un plat entier de crêpes au sucre sans prendre un gramme, m'voyez ? Et si jamais elle venait à prendre un peu de poids, hop, une petite séance de sport et c'est oublié ! De toute façon, elle est assez sportive et assez touche-à-tout, alors, côté activités physiques, elle n'est pas en reste...
PSYCHOLOGIE Ϟ
Nous pourrions résumer le caractère d'Himeka en un seul mot : peste. Au sens large du terme. On la déteste, et on souhaite sa mort, on le clame dans son dos -et en face, parfois, si l'on ne craint pas les représailles qui ne tardent jamais à arriver. Hime, ça veut dire princesse, et c'est de cette façon qu'elle se considère : elle est une princesse, une reine sur son trône, elle règne sur le lycée et maudit soit celui qui s'en prend à elle ou à ceux à qui elle tient. Elle, la cheftaine ; eux, les pions. Des bouffons, des fous du roi, juste bons à l'amuser un temps avant qu'elle ne s'en lasse : les filles pour s'entourer et avoir des défouloirs qui ne broncheront jamais à proximité ; les mecs pour s'éclater sous les draps. Certaines filles aussi ont ce privilège, mais elles sont plus rares, malgré qu'Himeka ai tendance à préférer les jolies courbes de ces demoiselles au torses musclés de ses amants.
Himeka, elle joue, elle profite, elle jette et elle reprend. Elle se fout des autres, mis à part des rares qui ont su capter son intérêt. Elle les descend, les rabaisse. Son plaisir ? Les faire pleurer, les détruire. Parfois, elle agit par vengeance. D'autres fois, par simple désir de s'amuser. C'est vrai, c'est divertissant de pousser les autres dans leurs retranchements et de les faire s'effondrer devant elle, hein ? En tout cas, elle, ça la fait bien rire.
Elle est toujours entourée de sa petite cour de fidèles en train de baver et piailler autour d'elle, comme une idole au milieu de ses fanatiques. Elle lance des modes, et on la suit. D'autant qu'elle-même en change pas mal, toute la tendance peut bien être retournée du jour au lendemain si elle en décide ainsi. Elle trouve des surnoms dégradants aux autres, les force à dévoiler leurs secrets les plus honteux, fait courir des rumeurs, brise des couples, et tout le monde la suit ; elle trahit, et ceux à qui elle n'a pas encore fait de mal se sentent honorés, car ils croient qu'en conséquence, elle leur porte de l'intérêt.
Elle se fout des cours, sèche, oublie ses affaires, arrive en retard et répond aux professeurs. Elle n'en a que faire des études, et on se demande comment elle a pu arriver jusqu'au lycée sans jamais redoubler en se maintenant à une moyenne de douze sans jamais réviser avant un contrôle.
Et pourtant, malgré ce côté garce que l'on a pu montrer depuis le début de cette description, elle n'est pas quelqu'un qui s'énerve facilement. Au contraire, provoquez-la et son calme ira crescendo, son ton deviendra des plus mielleux, en même temps que ses mots se feront de plus en plus tranchants pour vous atteindre en plein cœur.
Elle sait ce qu'elle veut et fera tout pour atteindre ses objectifs, quitte à vous planter un couteau dans le dos. La fin justifie les moyens comme on dit, et elle use de ce diction à tort et à travers, tant que ça l'arrange.
Heureusement, il existe de rares, très rares personnes qu'elle ne trahira jamais. Et, avec ses " élus ", elle est quelqu'un de totalement différent. Elle est une jeune fille souriante et d'un bon vivant à toute épreuve, qui aime sortir, faire du shopping et faire la fête comme toutes les filles de son âge. Elle pourrait passer des heures dans les boutiques à essayer des milliers de tenues et se pavaner devant les autres clients. Un problème par contre, pour elle, une fête n'est rien sans alcool.
Elle devient aussi une personne de confiance qui saura garder vos secrets. Elle est alors une épaule réconfortante sur laquelle il fait bon de venir s'épancher de temps à autres, et qui tentera soit de vous conseiller, soit de vous changer les idées, d'une manière ou d'une autre.
En bref, il n'y a que deux solutions possibles avec elle : vous vous en faites soit une amie, soit une ennemie. Mais, l'un ou l'autre, c'est souvent pour la vie.
Et sinon, en vrac... elle aime le basket, le foot, l'équitation, la course, la lecture, la musique. Elle n'aime pas les jeux de hasard, ni les jeux de cartes, ni les jeux de société en général. Elle n'aime pas les casse-têtes et ni les énigmes. Elle aime danser, sortir en boîte, boire et fumer -avec modération -ou pas. Elle aime le shopping. Elle n'aime pas la pluie ni la neige. Elle préfère le soleil. Elle aime la plage, mais pas les piscines publiques. Elle aime la cuisine Française, Italienne et Japonaise. Elle apprécie les cours de langues étrangères, déteste les mathématiques. Elle aime le thé glacé à la pèche, mais pas le Coca, même Light. Elle aime le jus d'orange et le jus de pomme, mais pas celui de raisin. Elle adore le chocolat, le caramel, la praline, mais pas la pistache.
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HISTOIRE Ϟ
Encore une journée passée. Identique à toutes les autres. On me frappe, on m'insulte, on jette mes affaires dans les flaques d'eau ou dans les lavabos, on déchire mes copies. Je n'arrive pas à répondre. J'essaie, mais ils me font peur. Et je n'ose pas en parler à mes parents, ni à mon frère, je serais la honte de la fam-
- Himeka ! A table ! retentit la voix de sa mère, au rez de chaussée. Himeka leva la tête de son carnet, le temps de répondre. - J'arrive ! lança-t-elle avant de replonger dans ses écrits.
-ille. Je dois me débrouiller seule. Sinon, je ne vaudrais rien. Enfin... Je ne vaux déjà rien, à mes yeux. Ni à ceux de mes camarades de classe, apparemment. Je mérite certainement ce qui m'arrive...
*****
- Eh ben, microbe, tu pleures ? - Ohhh la pauuuuvre, elle chouiiiine ! - T'es tellement moche quand tu pleures, ça t'arrange pas ! Au milieu de ces éclats de rires, et de ces paroles venimeuses, Himeka se leva, abandonnant là ses affaires qu'on avait éparpillées, s'enfuyant à toutes jambes pour se réfugier dans une cabine des WC. On finirait bien par la retrouver, mais elle avait au moins quelques minutes de répit. Elle sortit le cutter qu'elle gardait toujours sur elle, même si elle n'osait jamais s'en servir, l'utilisant alors pour graver des mots sur la porte en bois des toilettes. leave me alone, leave me alone, leave me alone. Elle grava ces mots autant de fois qu'elle pu avant que les voix de ses persécuteurs ne se rapprochent.
*****
- Ma puce ? D'où viennent ces griffures sur ton visage ? demandait parfois sa mère, inquiète. - Oh, ça ? Je suis tombée, maman. répondait-elle, à chaque fois. Mentait-elle, à chaque fois.
*****
L'entrée au lycée fut tout aussi catastrophique. Certains des anciens élèves de son collège avaient rejoint les rangs des lycéens de son nouvel établissement, en plein centre ville de Chiba, au Japon et elle y avait aussi rencontré d'autres... phénomènes. Une en particulier, qui fit de son début d'année scolaire un enfer, surtout qu'Himeka avait prit la décision de se teindre les cheveux, par pur esprit de rébellion envers ce qu'elle vivait. Sauf que cet acte ne fit qu'empirer les choses...
J'peux savoir pourquoi tu me regardes comme ça, sac à puces ? lâcha un jour la peste rousse, entourée de toute sa clique, parce qu'Himeka avait eu le malheur de s'attarder une seconde de trop sur elle. Elle avait alors baissé les yeux, en rougissant, sans savoir quoi répondre. Quoi qu'est-ce qu'y a, t'es amoureuse peut-être ? La petite bleue se retrouva muette, clignant des yeux. Amoureuse ? De cette peste ? N'allez pas croire, elle n'a pas développé le syndrome de Stockholm ! Par contre, la discussion qui s'ensuivit entre la peste et une de ses acolytes fut des plus dérangeantes. Comment elle sait pour ma bisexualité ? La scène s'acheva sur Shizume -la peste en question- qui vint déposer un baiser très, très, très près des lèvres d'Himeka, qui se retrouva on ne peut plus choquée et rouge de gêne. Tout ceci n'était qu'un prétexte de plus pour la rabaisser, évidemment.
*****
Je n'en peux plus d'elle. Elle est pire que tous les autres réunis, elle n'a même pas besoin de frapper ou de détruire mes affaires pour me faire du mal. Ses mots sont les plus terribles qui soient. Ils sont dit avec un tel tranchant, que même son ton mielleux est à vous glacer le sang. C'est horrible, pitié, faites que les choses changent.
*****
A côté de ça, Himeka avait la chance de ne pas être dans la même classe que sa persécutrice number one. Elle était même dans une classe plutôt calme, qui lui permettait d'étudier sans trop de difficultés. Elle avait une moyenne stable, aux alentours de 15. Elle ne travaillait pas d'arrache-pieds, mais juste assez pour n'attirer l'attention de personne sur son cas. Elle avait quelques personnes avec qui elle ne s'entendait pas trop mal, des personnes avec qui elle discutait et déjeunait parfois, mais aucune grande amitié. Elle ne parvenait pas à faire confiance aux autres, et il faut croire qu'elle n'était pas quelqu'un de très intéressant, puisque les étudiants préféraient être en eux qu'avec elle.
*****
Pourquoi avait-elle accepté d'aller à cette fête, déjà ? Juste parce que ses parents et Ichinose l'y avaient poussée. Fichtre, que faisait-elle ici, au milieu de tous ces gens invités pour l'anniversaire d'une des amies de Shizume ? Elle n'était pas dans son élément, c'était sa première fête, et la musique était trop forte, l'endroit sentait trop l'alcool, des choses trop illicites circulaient entre les jeunes. Elle cherchait avec empressement un endroit calme, quand elle entendit un rire sur-aiguë qui lui fit tourner la tête. Shizume, évidemment. Qui d'autre pour se payer sa tête ainsi ? Sac à puces, hein ? Salope. fulminait-elle intérieurement.
Et puis, soudain, elle avait vu la rousse se mettre à tousser, et à cracher du sang, et les principes de la bleue étaient remontés à la surface. Qu'importe qu'elle soit la pire des garces qui existent, cracher du sang était tout sauf normal, et elle n'aurait mit la vie de quelqu'un en jeu pour rien au monde. Alors, elle s'approcha, inquiète. Elle se fit recevoir bien comme il fallait. Habituel ? Elle est... malade ? Lorsqu'elle manqua tomber, la bleue vola à son secours pour la retenir, et se fit repousser par la demoiselle qui, visiblement, s'inquiétait plus de sa veste que de ne pas s'être littéralement assommée contre le carrelage. Pour une fois, Himeka osa répondre à Shizume. Doucement, sans agressivité, car elle en était incapable, mais elle ne choisit pas la solution facile de la fuite.
Et heureusement, d'ailleurs. Etant donné que, d'un coup, la rousse avait viré pâlotte et s'était effondrée dans les bras d'Himeka, qui, bien que paniquée, avait réagit au quart de tour pour appeler les ambulances et faire cesser la fête -et, pour une fois, on l'avait écoutée. Plus par lassitude et dégoût qu'autre chose, mais écoutée quand même.
*****
Finalement, j'ai bien fait d'aller à cette fête. Sinon, peut-être que personne n'aurait fait attention à Shizume. Ils étaient tous là, en train de danser, de boire, de draguer, d'embrasser ou que sais-je encore. Alors, ils n'auraient rien fait, j'en suis certaine. Ils ne l'auraient pas remarquée, et peut-être qu'on aurait apprit qu'elle était... Enfin bref. Je ne sais même pas pourquoi je l'ai aidée après tout ce qu'elle m'a fait. Au final, nous sommes tous humains, faut croire.
*****
Elle subit les regards de travers de la bande à Shizume dans les couloirs de l'hôpital, et le leur rendit, méprisante. Moi au moins, j'ai sauvé celle que vous qualifiez comme votre amie se retint-elle de justesse de leur cracher à la figure. A la place, elle leur tourna le dos et entra dans la chambre.
- On t'a jamais apprit à toquer à la porte sac à puces ? lâcha la rousse, sous le haussement d'épaules d'Himeka. - Je voulais juste voir comment tu allais, j'ai cru que tu dormais vu que tes copines partaient toutes. - C'pas mes copines elles me filent des boutons et m'ont déjà cassé les pieds alors que j'venais à peine de me réveiller. Et j'vais bien donc tu peux te tirer maintenant la porte est juste derrière toi !
Himeka s'était contentée d'acquiescer et de sortir, sans rien ajouter.
*****
Toujours aussi désagréable, n'empêche, la rousse. Mais bon... Je ne m'attendais pas à un changement fulgurant venant d'elle. La routine reprendra son cours une fois qu'elle reviendra au lycée, j'imagine.
*****
Tout au long de la semaine, Shizume avait été absente ; mais ça n'avait pas empêché toute sa clique d'ennuyer Himeka et de poursuivre leurs éternelles méchancetés à son égard.
Puis, Shizume était revenue. Et, pour qui, pour quoi, son comportement avait totalement changé. Pour la première fois, et devant les regards choqués de sa cour d'admirateurs personnelle, elle avait prit la défense de celle qui était son souffre-douleur il y a tout juste une semaine. Et puis, elle ramassa son sac pour le tendre à la bleue, encore sous le choc de ce qu'elle vivait.
- Ça va ils t'ont pas fait du mal j’espère, ils sont trop cons sérieux. Le Jino il fait son beau alors que c'est un pauvre puceau pouilleux qui vit dans une pauvre bicoque et qui ruine ses parents pour avoir des fringues de marques pour montrer à personne qu'il est pauvre.
Himeka ne répondit rien, beaucoup trop méfiante quant à ce retournement de veste soudain. Elle parlait trop gentiment, souriait, comme si... elles étaient amies. Ce qui n'était, jusqu'à la preuve du contraire, pas le cas.
- Allez n'ai pas peur j'vais pas te faire une crasse tu sais, j'ai réfléchi pendant ma semaine d'absence, j'me suis dit que j'ai eu tord de te maltraiter comme ça... Mes soi-disant amies auraient pas fait ce que tu as fait pour moi, elles m'auraient sûrement laissée dans ma merde et du coup j'me serais sûrement noyée dans mon sang ou je ne sais quoi... Du coup j'm'excuse pour tout ce que j't'ai fait subir... Tu veux bien me pardonner et qu'on devienne... Amies ? J'ai pas d'amies normalement j'ai horreur des filles et les garçons sont bon que pour le sexe mais... Pour toi j'veux bien faire une exception après... Ce que tu as fait pour moi...
Ce fut après un long moment d'hésitation qu'Himeka acquiesça, songeant qu'une personne si populaire ne s'abaisserait pas si bas pour humilier quelqu'un, ce qui signifiait qu'elle était certainement sincère. Un peu plus confiante, elle accepta, et elle partirent manger ensemble. Elles parlèrent, de tout et de rien, faisant connaissance.
Au fil des semaines, Shizume fit ressortir les instincts garce de la petite bleue, et de victime, Himeka devint reine du lycée aux côtés de la rouquine. Ce fut alors elle qui se mit à réduire les autres à l'état de moins que rien. La vengeance était terrible.
*****
Elle venait de sortir de son cours de mathématiques, lorsqu'elle fut bousculée dans les couloirs. Elle se retourna soudainement, se retrouvant face à un garçon roux, les cheveux hirsutes, qui la regardait en clignant des yeux, se balançant d'un pied sur l'autre. Il se confondit en excuse, prétextant qu'on l'avait poussé sur elle. Elle faillit s'en prendre à lui, mais vit le petit groupe de Jino ricaner, à quelques pas derrière eux. Un grand sourire aux lèvres, elle prit la main du roux, et l'entraîna avec elle vers les autres, alors qu'il se laissait embarquer simplement car il ne comprenait rien à ce qu'il se passait.
- Oh, tiens, Jino, les filles. Comment allez-vous ? - Bien... Pourquoi ? répondit le type, méfiant quant à l'air mielleux de la bleue. - Parce que si tu t'avises encore d'essayer de faire accuser quelqu'un à ta place, tu risques de ne plus aller très bien. Je sais bien que je te fais envie, mais si tu veux trouver quelqu'un pour pouvoir te vanter de ne plus être puceau à ton âge, sache que ce ne sera pas moi. Revois tes méthodes de drague, pauvre type. - Tu veux que je te rappelle que tu n'es qu'une moins que rien ? Tu profites de Shizume pour te faire bien voir, mais tu restes une gamine qu'on peut briser en une seconde ! Il ricana, fier de son coup, pensant l'avoir atteinte.
Sauf qu'elle ne fit qu'éclater de rire, jusqu'à en pleurer. Essuyant le coin de ses yeux, elle prit Jino par le menton.
- Oh, mon pauvre, pauvre Jino, comme tu es naïf. Vous n'étiez que des pigeons pour elle, des bouffons dont elle se débarrasserait un jour. Alors que moi, je vaux tellement mieux que ça. Tellement mieux que toi. Je n'ai pas besoin de ruiner mes parents pour avoir l'air de ce que je ne suis pas, moi, au moins.
Il pâlit en comprenant ce qu'elle voulait dire, et elle tourna les talons sans attendre une réponse qui ne viendrait pas. Le roux qu'elle n'avait pas lâché se laissa entraîner jusque dans le hall d'entrée, puis il l'arrêta de force.
- Hi-Himeka ! Lâche-moi !
Elle s'exécuta, l'observant alors en coin. Il connaissait son nom -comme tout le monde ici- mais elle ne connaissait pas le sien. Curieuse, et le trouvant plutôt mignon, elle lui sourit doucement.
- Pardon. Comment tu t'appelles ? - S-Satori. - Enchantée. Nous nous recroiserons peut-être !
Elle lui fit un clin d'oeil, avant de s'en aller, avec une nouvelle idée : elle en ferait l'une de ses conquêtes.
*****
Une fête avait été organisée en leur honneur par l'une de leurs groupies, qui aurait tué pour leur arriver à la cheville. Elles étaient en train de discuter toutes les deux, quand Shizume était allée chercher un verre plus loin. Un bel inconnu avait alors rejoint la bleue pour lui offrir un verre -ou plutôt la draguer. Il commençait à glisser ses mains sur ses hanches et l'embrasser dans le cou quand elle lui fila entre les doigts, entraînée par sa meilleure amie.
- Shime, tu sais ce que tu viens de faire ? Il était beau gosse ce mec... Elle s'interrompit, en remarquant l'air grave de sa meilleure amie. Qu'est-ce qu'il se passe ? - Hime, c'est l'horreur... Je... Mon ex... Sasuke tu sais le gars qui a fait un...Enfin bref il est là !
Himeka cligna des yeux, surprise. Elle ne répondit rien, essayant de voir s'il était dans les parages. Trop de monde. Tant mieux. Elle vit son amie prendre son téléphone, et en demanda la raison. Et puis, elle comprit très vite. Elle venait d'appeler les parents de Kyllia, l'organisatrice de la soirée. Elle éclata de rire à son tour après qu'elle ai raccroché. Elles filèrent alors pour ne pas être chopées quand les flics arriveraient, mais assistèrent de loin à la scène des parents furax qui débarquaient.
*****
La rousse avait été secouée du retour de son ex dans sa vie, mais elle ne comptait pas se laisser démonter. Ce fut donc sans surprise qu'elles se retrouvèrent dans un coin d'ombre sur le parking, non loin de la voiture de Sasuke, alors qu'il arrivait avec une cruche blonde accrochée à son bras comme une sangsue. La voiture refusa de démarrer, et le duo de pestes se montra lorsque l'adolescent commença à s'énerver parce qu'il manquait une pièce à sa voiture. Evidemment, cette fameuse pièce manquante n'était nulle part ailleurs que dans la main de Shizume.
Lorsque Sasuke le vit, il demanda à récupérer son dû. Himeka récupéra la bougie, se reculant d'un pas pour observer la scène, songeant que si jamais Sasuke tentait de faire du mal à son amie, une bougie dans la figure, ça devait faire son petit effet... Elle n'eut rien le temps de songer de plus que la bougie quittait ses mains et finissait loin sous terre, là où elle n'irait jamais les chercher... Plutôt crever. Elle ricana face à l'air furax du type, et agita ses doigts pour dire au revoir, avant de suivre son amie, adressant un joli doigt d'honneur aux deux abrutis par dessus son épaule.
*****
Elle était assise à côté de Satori, dans la chambre de ce dernier, en train de travailler sur des exercices de mathématiques. C'était presque la dixième fois qu'elle venait chez le rouquin, sous prétexte qu'il l'aidait à comprendre cette suite de chiffres qui n'avait aucun sens à ses yeux -ça, par contre, c'était vrai. En fait, elle ne faisait qu'aller chez lui dans le but de se rapprocher, et d'atteindre l'objectif qu'elle s'était fixé. Même si, au fil du temps, c'était devenu un peu plus qu'un caprice de princesse, elle s'était attachée à Satori, et avait prévenu Shizume de ne pas l'approcher. La rousse l'avait un peu charriée, mais elle avait vite comprit que son amie ne plaisantait pas avec ça. Et aujourd'hui, Himeka en avait on ne peut plus marre des mathématiques. Elle fini alors par poser son stylo, et regarda son camarade.
- Satori, faut que j'te dise un truc... Ris pas, s'teuplaît. - Quoi ?... - Je crois que tu me plais... J'aime te voir, j'aime être près de toi, j'aime te parler, j'aime... ce que tu es...
Elle n'avait jamais parlé à coeur ouvert, de la façon dont elle le faisait à cet instant. Voyant qu'il ne réagissait pas, elle se pencha vers lui, rapprochant leurs lèvres pour finalement les unir dans un baiser auquel il répondit. C'était un baiser timide, léger, elle sentait à peine le contact de leurs lèvres, mais cela suffit à lui faire l'effet d'une bombe en plein dans son estomac. Quelques secondes après, elle se levait en rangeant ses affaires.
- P-Pardon, il est tard, je devais aider ma mère à... à... Enfin bref, ciao !
Elle s'était enfuie, sans demander son reste, honteuse et complètement bouleversée par ce qu'il venait de se passer. C'était loin d'être la première fois qu'elle embrassait un garçon, elle avait même fait beaucoup plus que ça, mais jamais ça ne lui avait fait un tel effet. Elle adorait le goût qu'il avait laissé sur ses lèvres.
C'était ça, qu'on appelait l'amour ?
*****
Les vacances passèrent, et, à la rentrée, plus aucune trace de Satori. Elle le chercha de partout, demanda aux autres si ils l'avaient vu, mais personne ne savait. Elle fini alors par aller demander à l'administration, et, après avoir menacé la secrétaire de révéler à tous le fait qu'elle passait régulièrement sous le bureau du proviseur, elle obtint finalement une réponse de sa part. Enfin, plutôt une enveloppe. Une lettre, dans laquelle elle reconnu l'écriture de Satori.
Elle s'isola pour lire ce qui était écrit, et se laissa tomber au sol, appuyée contre le mur froid des toilettes derrière elle. Pourquoi donc avait-elle envie de pleurer ? Pourquoi y avait-il cette boule dans sa gorge ? Pourquoi son coeur se serrait-il à l'idée qu'elle ne le reverrait plus ?
*****
Tout est de la faute à son père. Comment s'est-il douté de ce qu'il se passait ? Pourquoi refuse-t-il les relations de son fils ? Pourquoi l'a-t-il éloigné de moi ? Pourquoi déménager rien que pour empêcher son fils d'aimer, et d'être heureux ? Je hais son père, je le hais, je le hais, je le hais.
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Un nouvel élève. Beau garçon, cheveux bleus, l'air d'un rebelle de première catégorie. Mikki. Himeka s'était mit en tête d'en faire son jouet personnel, mais il s'avéra qu'il était un sacré morceau, et qu'il n'était pas près de plier face à elle. Ils se crachaient de saintes horreurs à la figure, et, si au début, tout ceci les faisait se détester, rapidement une complicité se créa entre eux deux. Ils s'adoucirent au fil du temps, et ils comprirent rapidement que si l'un des deux avait un problème, l'autre volerait à son secours quoiqu'il arrive. Himeka ne tarda pas à l'afficher aux yeux de tous comme son meilleur ami, et le peuple du lycée comprit qu'il était quelqu'un à ne pas toucher pour ne pas s'attirer les foudres de la princesse.
*****
On frappa à sa porte, et comme elle était seule, ce fut elle qui ouvrit, découvrant avec surprise sa meilleure amie sur son perron. Elle lui sauta au cou sans attendre, trop heureuse de la voir.
- Hime... Je suis venue te dire au revoir... - Au revoir ? Tu pars où ? demanda Himeka en fronçant les sourcils sans comprendre. - Je... Je quitte la ville... Je vais en France, étudier au Lycée Lumen... Je suis désolée Himeka... Je suis sincère je voudrais rester avec toi... Je voudrais retourner dans notre lycée mais à cause de ma mère j'dois partir... J'suis virée j'ai plus le droit de mettre les pieds dans le lycée et j'la supporte plus donc je m'en vais... Je voudrais bien t'emmener dans mes valises mais j'peux pas... Tu as ta vie ici... T'as tes parents qui t'aiment, tu t'es pas faite virer du lycée... Je te laisse le flambeau, c'est toi la reine maintenant... Tu feras une merveilleuse reine ma chérie.
Himeka avait commencé à pleurer quand son amie avait parlé de la France, et ses larmes étaient allées crescendo. A présent, elle n'était plus que sanglots, effondrée dans les bras de sa meilleure amie.
Pleure pas mon petit chat... On restera amies pour la vie j'te le promets. De toute façon je trouverais jamais une amie comme toi. Tu resteras toujours la meilleure des meilleures, la seule et l'unique... Je t'aime.
Un baiser fut déposé sur ses lèvres, mais Himeka n'en prit pas aussitôt conscience, anéantie par le départ de la seule qui avait su voir en elle plus loin que son paraître, au début de son année de seconde. Ce ne fut qu'une fois que la voiture eut disparue à l'horizon qu'elle réalisa ce qu'il s'était passé, et elle effleura ses lèvres du bout des doigts, rougissant violemment, le coeur battant la chamade.
Elle resta un long moment allongée sur son lit, le regard fixé sur le plafond, à se repasser en boucle la scène de leur baiser. Les sensations qu'elle en éprouvait étaient... étranges. Ce n'était pas comme avec toutes ces autres filles qu'elle avait déjà embrassées. Ce n'était pas non plus comme avec Satori. C'était encore bien différent, mais elle ne parvenait pas à décrire exactement de quoi il s'agissait.
Elle passa la nuit entre crise de larmes et réflexions intenses, tentant par tous les moyens de trouver comment rejoindre Shizume en France. Vers cinq heures du matin, elle pianotait sur le clavier de son téléphone, à la recherche d'informations sur le lycée Lumen. Elle attrapa ensuite la boîte qui contenait ses économies, et fit de rapides calculs pour en venir à la conclusion que son plan était largement réalisable. Au moment même où son réveil sonnait six heures, Himeka avait prit sa décision.
*****
Pendant presque un mois entier, elle mena la vie dure à ses professeurs, se levant en cours, déchirant cours et contrôle devant eux, dégradant le matériel qui coûtait parfois une fortune, insultant les adultes. Chaque fois, elle était convoquée, mais jamais on ne lui donnait plus que quelques heures de colle ou qu'un rapport qu'elle réduisait en petits bouts devant le proviseur même. Elle était en plus de ça devenue violente, ne se contentant plus seulement de détruire moralement les élèves, elle en avait frappés plusieurs, et même un professeur. Il avait fallut qu'elle menace ce dernier de lui provoquer un "malencontreux accident" pour qu'enfin elle passe en conseil de discipline. Sourire hautain, elle avait reconnu les faits et avait à nouveau proclamé des menaces. Elle s'était mit tous les élèves, professeurs et membres de l'administration à dos, et même ses parents, mais au moins, elle avait obtenu ce qu'elle voulait.
Elle était renvoyée.
Elle n'avait même pas prit la peine de dire au revoir à ses camarades, ils se rendraient bien vite compte que leurs deux reines et persécutrices s'en était allées l'une après l'autre, et alors ce serait l'anarchie. Car quand le chat n'est pas là, les souris dansent. On viendrait les supplier de revenir, mais aucune ne serait là.
*****
Après de longues heures de disputes avec ses parents, Himeka avait su les calmer à force de mots, et avait pu exposer son départ à Lumen comme une "punition" -ils l'avaient comprit de cette façon, et, c'était tant mieux pour elle, qui avait tout à y gagner. Ils s'étaient mit à réfléchir, et le lendemain, ils annonçaient à leur fille qu'elle partait en fin de semaine pour Lumen. Elle afficha une mine déconfite, mais, dés qu'elle fut seule dans sa chambre, elle sauta de joie et prépara d'ors-et-déjà ses valises. On ne peut plus ravie, elle déposa un message sur son fil d'actualité grâce à son téléphone.
J'me casse les gens, vous direz arrivederci au plouc qui nous sert de proviseur de ma part !
Aussitôt, une vague de Machin a aimé votre publication et de Bidule a commenté votre publication. Elle n'y prêta pas attention, ne prit pas la peine de répondre. Elle désactiva son compte, songeant qu'elle n'aurait plus besoin d'avoir tous ces troubles-fête dans ses pattes. Elle allait régner sur un nouveau lycée avec sa meilleure amie, et laisser tous ces anciens pions à leur triste sort.
Bien fait pour eux.
*****
Elle regardait les nuages à l'horizon, confortablement installée dans son siège, sirotant un verre de thé glacé que l'hôtesse venait de lui donner. Son MP4 dans sa main, ses écouteurs dans ses oreilles, elle balançait la tête en rythme avec la musique, on ne peut plus heureuse. 16 ans, émancipée pour ses études, elle s'envolait vers la France. Elle s'envolait vers Shizume.
you've made me go insane.
UNE RAPIDE PRESENTATION Ϟ Je suis toujours Océane, ahah. Et j'sais pas pourquoi j'ai ramené Shizume et Mikki. P't'être que j'les aime bien, en vrai.
CODE Ϟ Validé par Kuro.
REMARQUE SUR LE FORUM Ϟ Nope.
PREMIER COMPTE ? Ϟ Nope, le premier c'est Yamiko Yuna.
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM ? Ϟ Toujours grâce à Huro o/.
Sujet: Re: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Lun 27 Oct - 13:29
Bienvenue Himeka !
Malgré quelques fautes, ta fiche est vraiment intéressante ! Par contre pour ton âge.. Soit tu es en seconde, soit en première et alors il faudra que tu arranges ta fiche et ton profil (: Pour l'histoire de sa vie au lycée; est-ce à Lumen ? Si oui, essaye d'expliquer un peu ses origines.. je te rappelle que nous nous trouvons en France. Et tu dis qu' "elle a les cheveux bleus". J'aimerais juste que tu précises ce qu'elle y a fait (car non elle n'est pas née comme ça désolée) : teinture, mauvaises blagues des autres camarades...
Si tu as une question n'hésite pas !
Célébrité du lycée
Ichigo Inozuka
Âge : 17 ans Orientation sexuelle : Kurosexuel xDD /Kuro Job : donne de temps en temps des cours particuliers à Ellen. En même temps, la pauvre ne sait compter que jusqu'à 24 /Kuro Messages : 473
Sujet: Re: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Jeu 30 Oct - 0:25
Moi je te dis bonne chance pour la finition de ta fiche que je lirai peut-être 8D
Invité
Invité
Sujet: Re: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Sam 8 Nov - 20:51
Ellen > Merci ! Oui, pour la classe, à la base j'avais choisi première, mais vu que Shizume a mit seconde j'ai changé sur la fiche mais j'ai oublié de modifier dans mon profil... Maintenant c'est fait ! Pour l'histoire, elle n'est pas finie, donc son arrivée à Lumen et tout ce qui s'en suit n'est pas encore expliqué, là où j'en suis Himeka vit encore au Japon ! ^^ D'accord pour les cheveux, je pense jamais à préciser \o/
Merci Ichigo ! x)
Edit : Et j'ai finiiii !
Invité
Invité
Sujet: Re: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Sam 8 Nov - 22:00
Je vous promet j'y suis pour rien si elle est folle ! Moi j'ai rien fait c'pas ma faute !
Et complètement taré
Stryker Senri
Âge : 17 ans Orientation sexuelle : Bisexuel ou Asexuel, ça dépend d'ta gueule ♥ Job : Host Boy Messages : 244
Sujet: Re: En bien ou en mal, qu'importe, faut qu'on parle de moi. [Terminée] Sam 8 Nov - 23:08
Te voilà maintenant validée, Himeka !
→Post-validation • Ta nouvelle couleur te va à ravir ! La première chose à faire maintenant est d'aller recenser ton avatar afin que ceux qui passeront derrière toi savent que ce visage t'appartient déjà. • Tu peux te tenir au courant des dernières nouvelles sur la page d'accueil • Si tu souhaites nous en dire plus sur ton personnage avant de commencer, je t'invite à créer ton Répertoire, Journal intime & ta Messagerie grâce à ce lien. N'oublie pas que pleins d'autres joueurs cherchent des liens entre personnages, donc surtout n'aies pas peur de demander, c'est toujours agréable d'avoir un contact à rajouter (: →Pour commencer à RP • Tu peux, si tu le veux, passer une petite annonce si tu as des exigences particulières ou des idées de scénarios. Ou simplement pour voir si quelqu'un en a posté une. • Mais tu n'es pas dans l'obligation de passer par là, héhé ! Tu peux directement te lancer dans un Rp dans n'importe quel endroit du lycée et avec qui tu souhaites ! (mets [Libre] dans le titre si tu n'as pas de partenaire) →Se détendre • Il n'est pas obligé de RP pour pouvoir faire de sympathiques rencontres. Passe sur la CB, tout le monde vous accueillera comme il se doit, et puis on y rigole bien ! • Nous avons tous connu ce moment d'ennui quand nous attendons désespérément une réponse à un RP passionnant... un seul remède contre ça, se défouler dans le Flood ! Tu as pris un screen énorme sur la CB et tu veux le partager ? Tu veux parler un peu de ton super personnage ? Montrer tes derniers cosplays, fanfictions, colorations ? Parler de tes projets, de tout et de rien, souhaitez un anniversaire, déclarez ta flamme à un membre... Tout ce que tu veux ! • Et puis comment parler du flood sans parler des Jeux ? Fais attention, il y a quelques addicts aux jeux dans l'assistance...
En vrac
Le règlement www Les galeries www L'entraide www Le trombi' www
○ 15 lignes minimum par Rp ○ Fais un tour sur la CB de temps à autre, on y est bien tu verras ♥ ○ Et surtout, amuse-toi !